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Le mercredi après-midi il n’y a pas école, mais il y a l’Expérimentarium ! Venez assiter à des ateliers discussions avec des jeunes chercheuses et chercheurs de l’Université Bourgogne Europe ! En petit comité petits et grands pourront faire la connaissance de 4 scientifiques.
Leurs sujets de recherche restent secrets.
Ce sera la surprise !
Inscriptions obligatoires : Inscription sur Weezevent
Expé en petit comité
Mercredi 19 novembre de 14h30 à 16h30
Centre des Sciences du Goût et de l’Alimentation, campus de Dijon
Venez découvrir une douzaine de chercheuses et de chercheurs de l’Université Bourgogne Europe, leur recherche, leur quotidien de chercheur et même leur labo le dimanche
30 novembre 2025 de 14h à 18h sur le campus de Dijon !
Au programme :
Mini-conférences (durée 25min)
Margaux, Nicolas, Dorra, Eliott, Laura et Amaury sont chercheurs et chercheuses en biologie, chimie, ou encore archéologie. Ils traquent des bactéries responsables des arômes dans le vin, étudient la production de fer dans les temps anciens, tentent d’éliminer des polluants à l’aide d’une protéine, développent de nouveaux outils pour lutter contre le gaspillage alimentaire et aident des nanoparticules à circuler dans le corps pour mener à bien leurs missions…
Visites de labo...
Venez visiter un authentique laboratoire de recherche ! Guidé.es par Florenn, jeune chercheuse en psychologie, vous découvrirez la manière dont elle étudie la reconnaissance des émotions sur le visage. Florenn s’intéresse notamment aux personnes avec autisme, pour qui cela peut être un exercice difficile. Dans son labo, Florenn demande à des participants de reconnaitre des émotions sur des visages afin de mieux comprendre les différences de comportement et d’activité du cerveau chez les personnes avec autisme.
Cette visite aura lieu dans le cadre de l’après-midi grand public de l’Expérimentarium où vous pourrez, si vous le désirez, échanger avec d'autres chercheurs de l’université.
L’Expérimentarium aura lieu de 14h à 18h dans le même bâtiment que la visite de...
Je suis jeune chercheur de l’université d’Aix-Marseille en sciences de l’environnement, travaillant au sein de l’IRSN* au LM2E**. L’objectif principal de mon laboratoire est d’étudier et de simuler les transferts d’éléments chimiques radioactifs dans l’environnement et leurs conséquences pour l’homme. Pour ma part, l’élément radioactif que j’étudie est le tritium. Je cherche à comprendre comment et en quelle quantité cet élément, rejeté par les centrales nucléaires, est assimilé dans l’herbe des prairies.
Les installations industrielles, dont les centrales nucléaires, rejettent des éléments dans l’environnement. Certains de ces rejets peuvent présenter un danger en raison de leur...
Je suis jeune chercheuse d’Aix-Marseille Université au sein du pôle de tracéologie du Laboratoire méditerranéen de Préhistoire Europe-Afrique (LaMPEA).
Je suis tracéologue : j’étudie les traces laissées sur les outils de pierre taillée afin d’interpréter leurs fonctions : au moyen de quels gestes les utilisait-on ? Quelles matières servaient-ils à travailler ? À quoi ressemblaient et comment étaient positionnés leurs manches ? À partir des traces, je déduis les techniques développées par les sociétés anciennes, pour lesquelles ces outils sont souvent les seuls témoignages de leurs manières de vivre.
Les outils de pierre taillée que j’étudie sont faits en silex, une roche,...
Je suis jeune chercheur d’Aix-Marseille Université en physique atomique au sein du laboratoire Physique des interactions ioniques et moléculaires. Dans mon équipe, nous nous intéressons aux ions : des molécules auxquelles on a ajouté ou retiré des électrons. Nous plaçons ces ions dans un piège pour connaître leurs positions et les manipuler à l’aide de laser. L’objectif de mon projet de recherche est de réussir à mesurer précisément la vitesse des ions au sein du piège en utilisant la lumière qu’ils émettent, grâce à ce que l’on appelle l’effet Doppler. Je collabore également avec le Centre National d’Étude Spatial pour leurs projets d’horloge ionique pour satellite, des chronomètres à...
Margaux VASTRA est une jeune chercheuse en 2ᵉ année de thèse à Cayenne, au Laboratoire des Matériaux et Molécules en Milieu Amazonien. Elle cherche à comprendre pourquoi le pont du Larivot rouille si vite. Pour cela, Margaux essaie de savoir si c’est l’eau salée ou les microbes qui sont responsables de cette dégradation.
La corrosion est un phénomène d’oxydation des métaux, comme la rouille pour le fer. Elle peut être uniforme (c’est-à-dire identique sur toute la surface du métal), ou dans certain cas localisé. Cette dernière, moins étudiée, fragilise grandement les structures par la formation de trous dans le métal. Suite à la détérioration de plusieurs structures métalliques...
Amaury Aumeunier est jeune chercheur spécialisé en microbiologie et biochimie, passionné par ce qui donne au vin ses arômes et ses saveurs. Il travaille au laboratoire PAM (Procédés Alimentaires et Microbiologiques) de l’Institut Universitaire de la Vigne et du Vin à Dijon, en collaboration avec une entreprise. Il étudie une bactérie essentielle pour fabriquer du vin : Oenococcus oeni. Cette minuscule alliée joue un rôle clé dans la fermentation malolactique, une étape cruciale qui adoucit le vin tout en développant ses arômes. Amaury cherche à mieux comprendre comment cette bactérie se nourrit et produit des composés responsables de certaines goûts et arômes uniques.
Quand...
Moustapha ALADJI est un jeune chercheur en économie au laboratoire de recherche MINEA-7485 BETA EMADD BIO à l'Université de Guyane. Il étudie l'impact de la migration sur le développement économique du territoire guyanais. Son travail de recherche consiste à voir si les structures d'accompagnement à l'intégration des immigrés en Guyane répondent aux attentes de cette population, et de mesurer l'impact économique sur le développement du territoire.
La diversité de la population en Guyane est le fruit de vagues migratoires successives. Au début des années 1960, elle est composée essentiellement d'Amérindiens, de Créoles, de Noirs marrons, d'Asiatiques et de Métropolitains. Elle s'...
Margaux Gaillard est jeune chercheuse au laboratoire L2n (Lumière, nanomatériaux et nanotechnologies) à Troyes. Elle aide les archéologues et la police à protéger les objets des musées. Margaux crée des étiquettes invisibles qu’elle cache sur les objets. Quand la police retrouvera un objet volé, elle pourra lire l’étiquette cachée et savoir d’où vient l’objet. Pour fabriquer les étiquettes, Margaux utilise de l’ADN. Elle synthétise des morceaux d’ADN dans lesquels elle insère des informations.
Fiche publiée en 2024.
Tom Timbert est jeune chercheur en sciences du sport au laboratoire CAPS (Cognition, Action et Plasticité Sensorimotrice), à Dijon. Dans son laboratoire, les chercheurs étudient l’effet de l’activité physique sur le corps humain. Tom s’intéresse particulièrement à la manière dont le cerveau, le muscle et leurs connexions réagissent si on fait vibrer un de nos muscles lors d’un mouvement. Il se demande s’il est possible de « repousser » la fatigue musculaire et d’améliorer les performances sportives.
Lorsque l’on décide de bouger sa jambe volontairement, c’est notre cerveau qui envoie un message à nos muscles. Cependant, un mouvement peut aussi être réflexe, comme le « coup...
LAURIANE VERHOOG est jeune chercheuse en géohistoire culturelle à l’Université de La Réunion au sein du laboratoire OIES*. Elle cherche à comprendre la manière dont les cultures s’influencent entre elles et étudie leur impact sur le développement humain. Ses recherches portent sur le littoral de l’est africain et notamment sur le Mozambique et Madagascar. En effet, cette zone a connu de nombreuses arrivées culturelles au cours de l’histoire, ce qui a façonné ses sociétés et en a impacté le fonctionnement.
*Océan Indien, espaces et sociétés
La côte est africaine a vécu plusieurs mélanges culturels au fil de l’histoire. On peut prendre dans l’ordre, l’arrivée des...
Thaiz RIVERA VARGAS est chercheuse en biologie à la faculté de médecine de Dijon. Thaiz travaille au sein d’une équipe qui étudie la façon dont notre corps se défend quand on a un cancer. Plus précisément, Thaiz cherche à comprendre comment notre corps se rend compte qu’il a un cancer et décide d’attaquer la maladie pour essayer de guérir. Le but de ses recherches est de réussir à stimuler les défenses naturellement présentes dans notre corps pour combattre le cancer, en complément des médicaments déjà utilisés.
Notre corps se défend tous les jours contre les virus et les bactéries qui l’attaquent, grâce à notre système immunitaire. Pour lutter, celui-ci possède une...



















