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Venez découvrir une douzaine de chercheuses et de chercheurs de l’Université Bourgogne Europe, leur recherche, leur quotidien de chercheur et même leur labo le dimanche
30 novembre 2025 de 14h à 18h sur le campus de Dijon !
Au programme :
Mini-conférences (durée 25min)
Margaux, Nicolas, Dorra, Eliott, Laura et Amaury sont chercheurs et chercheuses en biologie, chimie, ou encore archéologie. Ils traquent des bactéries responsables des arômes dans le vin, étudient la production de fer dans les temps anciens, tentent d’éliminer des polluants à l’aide d’une protéine, développent de nouveaux outils pour lutter contre le gaspillage alimentaire et aident des nanoparticules à circuler dans le corps pour mener à bien leurs missions…
Visites de labo...
Venez visiter un authentique laboratoire de recherche ! Guidé.es par Florenn, jeune chercheuse en psychologie, vous découvrirez la manière dont elle étudie la reconnaissance des émotions sur le visage. Florenn s’intéresse notamment aux personnes avec autisme, pour qui cela peut être un exercice difficile. Dans son labo, Florenn demande à des participants de reconnaitre des émotions sur des visages afin de mieux comprendre les différences de comportement et d’activité du cerveau chez les personnes avec autisme.
Cette visite aura lieu dans le cadre de l’après-midi grand public de l’Expérimentarium où vous pourrez, si vous le désirez, échanger avec d'autres chercheurs de l’université.
L’Expérimentarium aura lieu de 14h à 18h dans le même bâtiment que la visite de...
"Sciences au château" à Pierre-de-Bresse invite le public à vivre un après-midi de découvertes, d’échanges et d’expériences autour de la recherche.
De jeunes chercheurs de l'Expérimentarium proposent des ateliers simples, interactifs et accessibles à toutes et tous, petits et grands, pour comprendre la science autrement et poser librement ses questions.
L’Expérimentarium permet de rencontrer des chercheurs issus de différentes disciplines. En petits groupes, ils présentent leurs travaux à partir d’objets, d’exemples concrets et de manipulations. Ici, la recherche se partage dans le dialogue, sans conférence magistrale et sans connaissances préalables.
...Virginie MONTAGNE est chercheuse à l’INRA*. Dans cet institut, certains chercheurs s’intéressent aux méthodes de production choisies par les agriculteurs et à leurs impacts sur la biodiversité. Virginie participe à un projet avec des viticulteurs qui font pousser des arbres au milieu de leurs vignes. Elle étudie les microorganismes : des bactéries et champignons qui vivent dans le sol des vignes. Pour qu'un sol soit en bonne santé, il est important d'avoir beaucoup de familles de microorganismes. Elle étudie si le fait d'ajouter des arbres améliore la diversité microbienne du sol.
* Institut National de la Recherche Agronomique
Les vignes sont des arbustes cultivés sur...
Tiffany Bellanger est jeune chercheuse en microbiologie à l’IUVV*, à Dijon. Son équipe étudie les microbes qui vivent dans le vin, notamment la manière dont certains sont utiles à la fabrication de cette boisson. Tiffany s’intéresse à la bactérie Oenococcus oeni qui joue un rôle clé dans la fabrication du vin. Elle étudie les stratégies que cette bactérie met en place pour survivre lorsque ses conditions de vie deviennent difficiles. Elle cherche plus particulièrement à savoir comment cette bactérie renforce la membrane à sa surface grâce à une protéine qu’elle fabrique.
* Institut Universitaire de la Vigne et du Vin
Le jus de raisin se transforme en vin grâce à l’action de...
Sarah LABRUYÈRE est jeune chercheuse en écologie à l’INRA* de Dijon dans l’unité Agroécologie. Son équipe étudie les mauvaises herbes et les différentes façons de les gérer en utilisant moins de pesticides. Sarah s’intéresse aux carabes, des petits insectes qui sont des mangeurs de graines de mauvaises herbes. S’il y en avait plus dans les champs, ils pourraient remplacer les pesticides ! Sarah cherche à savoir dans quels endroits du paysage les carabes préfèrent vivre selon le moment de l’année.
*Institut National de la Recherche Agronomique
L’utilisation de produits chimiques dans les champs dégrade la nature. Des chercheurs en agroécologie étudient de nouvelles solutions...
Alena KOTŠMÍDOVÁ est jeune chercheuse en littérature, rattachée au laboratoire du CPTC* à Dijon et à la Faculté des Lettres à Mayence, en Allemagne. Elle étudie l’Histoire de Pierre de Provence et de la belle Maguelonne, un roman écrit au XVᵉ siècle et ses traductions allemande et tchèque, qui datent du XVIᵉ et du XVIIIᵉ siècle. Alena veut montrer comment les deux traductions successives ont changé le texte de départ et comprendre pourquoi l’histoire a été autant aimée par des princes français que par des paysans tchèques.
* Centre pluridisciplinaire textes et cultures
Un prince rencontre une princesse et ils tombent amoureux l’un de l’autre. Puis, de peur des parents...
Raphaël Otho est jeune chercheur en linguistique au laboratoire PLIDAM (Pluralité des Langues et des Identités : Didactiques, Acquisition, Médiations) à Paris. Il travaille sur le laari, langue fille du kikoongo, parlé en République du Congo. Il s’intéresse particulièrement aux verbes qui expriment le mouvement et le déplacement (par exemple zakalá «s’asseoir», katuká « quitter » et tuulá « arriver »). Ces verbes sont très importants dans les langues. Par leur étude, Raphaël espère mieux comprendre le laari mais aussi tester et valider une nouvelle théorie de linguistique.
La République du Congo est un pays d’Afrique centrale. Dans le sud du pays, dans le département du Pool,...
Valentin Mathieu est jeune chercheur au Bureau d’Économie Théorique Appliquée (BETA) à Nancy. Il est rattaché à l’institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE). L’unité à laquelle appartient Valentin travaille sur des thématiques de recherche variées en économie, comme l’économie de la forêt et de la filière bois. Valentin fait partie de l’équipe de modélisation du secteur forestier* du laboratoire. Ses recherches portent sur la modélisation de l’économie mondiale du bois, c'est-à-dire sur la représentation et la compréhension de la circulation du bois dans le monde. Les travaux de Valentin allient sciences économiques, mathématiques et...
Maëva Naze est jeune chercheuse en biologie végétale au sein du laboratoire PVBMT* à Saint-Pierre. Ce qui la passionne au quotidien est de mieux comprendre l’écologie de la germination d’espèces arrivées avant l’humain à La Réunion (indigènes). En particulier, elle s’intéresse aux semences des arbres qui peuvent nous aider à nous soigner et/ou qui sont visitées par les abeilles pour donner les miels particuliers de La Réunion.
* Peuplements Végétaux et Bioagresseurs en Milieu Tropical
Tan rouge, Fleur jaune… ne sont pas seulement des noms de quartiers et de lieux à La Réunion, mais aussi d’arbres indigènes qui étaient présents en abondance dans ces zones avant de...
Marina CIMINERA est chercheuse au CNRS* à Kourou. Elle travaille sur les papillons responsables de la papillonite, une maladie de la peau causée par les poils urticants du papillon cendre. Marina essaie de savoir quelles sont les espèces responsables de la papillonites sur le territoire guyanais car plus d’une centaine d’espèces de papillon urticant existe en Amérique du sud. Le papillon de la papillonite a fait l’objet de très peu d’études par le passé et il reste beaucoup de choses à découvrir sur ce papillon.Cette étude est menée au sein du laboratoire EcoFoG**, centre de recherche qui s’intéresse au fonctionnement des forêts Tropicales.
* Centre national de la recherche...
Sandra WAGNER est jeune chercheuse en sciences de l’alimentation au Centre des Sciences du Goût et de l’Alimentation. Elle travaille au sein du programme OPALINE* qui vise à déterminer l’origine des préférences alimentaires et comprendre comment elles évoluent chez le nourrisson et le jeune enfant. Sandra étudie en particulier le rôle des odeurs sur l’appréciation des aliments durant les deux premières années de la vie.
* Observatoire des Préférences ALImentaires chez le Nourrisson et le jeune Enfant
Nos préférences alimentaires définissent ce que nous mettons dans notre assiette et ce que nous mangeons. Chaque personne est différente et a ses propres préférences. Pourtant,...
Laëtitia Merle est jeune chercheuse au CSGA* de Dijon. Son équipe étudie l’odorat, un sens utile à notre survie pour éviter des dangers et bien manger. L’odorat fonctionne grâce à des neurones, qui se développent pendant la grossesse et continuent de se former après la naissance. Des études sur des mammifères ont montré que si la mère a une mauvaise alimentation pendant ces périodes, les organes de ses petits peuvent mal se former. Laëtitia cherche à savoir si cela les empêcherait de bien sentir les odeurs.
* Centre des Sciences du Goût et de l’Alimentation
Nous sentons grâce à des neurones présents dans le nez : ils informent le cerveau que l’on a détecté une...




















